ALIMENTATION DE NOS REPRODUCTEURS
A l'élevage Golden Love Heaven, l'alimentation de nos reproducteurs est primordial et est notre priorité de tous les jours.
Leur alimentation est 100 % naturelle et de qualité à base de viande crue appelé BARF.
Nos rations journalières sont composées de viande de canard, d'os charnus moitié cuisses de poulet et cous de poulet ou dinde, d'abats moitié gésiers de poulet et foies de dinde et de sprats ainsi que de légumes, un mixte de carottes courgettes et pommes.
Le BARF c'est quoi ?
L'alimentation naturelle à base de viande crue pour chiens, BARF.
La qualité de l'alimentation est un des facteurs les plus importants garantissant la bonne santé de nos chiens, en leur permettant de disposer d'un système immunitaire intact.
Avec l'apparition, dans les années 60 de différents aliments industriels, dont les croquettes, la majorité des propriétaires de chiens et d'éleveurs ont remis leur responsabilité alimentaire dans les mains des différents fabricants en se fiant aux différents slogans publicitaires vantant la grande qualité des ingrédients qu'elles contiennent. Il est naturellement très pratique d'ouvrir simplement un sac de croquettes, d'en mettre une certaine quantité dans la gamelle sans devoir se préoccuper outre mesure de la composition de la nourriture.
Les différents vétérinaires conseils au service des différentes marques en prennent soin. Puis, pour beaucoup, la vie professionnelle ne laisse que peu de temps pour s'occuper personnellement de la préparation de la nourriture de leur chien pourtant adoré, et pensent qu'une telle préparation est fastidieuse et requiert un degré universitaire pour composer ses rations journalières.
Beaucoup de propriétaires de chiens sont naturellement au courant que, de nos jours, différents aliments destinés à la consommation humaine peuvent contenir des substances diverses, souvent de synthèse comme des agents de conservation, arômes, ou colorants. Par contre, la composition des ingrédients et les différentes substances contenues dans les croquettes sont souvent ignorées.
Elles contiennent essentiellement des céréales, leurs dérivés et différents déchets végétaux produits par l'industrie agro-alimentaire. La consommation d'une telle alimentation, basée essentiellement sur des céréales et des végétaux, a une répercussion sur l'état général de la santé de la population canine et féline. Maladies cancérigènes, allergies diverses, problèmes de digestion (pancréatites), affections rénales (insuffisances rénales), hépatites, diminution de fertilité et problèmes de croissance sont en nette progression et remplissent les salles d'attente des vétérinaires et des cliniques pour animaux de compagnie.
Il faut 10.000 ans pour que l'organisme du chien puisse s'adapter à un changement alimentaire radical. L'apparition des croquettes qui a pris son véritable essor dans les années 60 est due à James Spratt, qui a d'abord commencé à fabriquer des biscuits pour chiens en Angleterre en 1860, puis par la suite, vers 1890 en s'établissant dans l'Ohio (États-Unis).
L'âge d'or des croquettes n'a cependant véritablement commencé qu'à partir de la fin de la deuxième guerre mondiale pour le plus grand malheur de nos chiens et chats. De nos jours, de plus en plus de propriétaires de chiens, éleveurs et vétérinaires, sont d'avis que la détérioration généralisée de la condition de santé de nos chiens et chats est étroitement liée à l'alimentation industrielle, soit sous forme humide, soit sous forme de croquettes.
Partant de ce constat il n'est pas étonnant qu'un mouvement vers une solution alternative prenne forme sous l'acronyme BARF.
Historique
Beaucoup de personnes se posent avec raison la question "Mais que signifie l'acronyme B.A.R.F.?" qui ne trouve que difficilement une explication rationnelle dans les différentes langues latines. Au début, cet acronyme était lié à des interprétations différentes, dont celle de l'Américaine Debbie Tripp qui fut la première personne à employer BARF, mot qui signifiait à cette époque Born Again Raw Feeders ou également Bones And Raw Foods. Mais les deux personnes qui ont véritablement donné la forme définitive de l'interprétation de cet acronyme sont incontestablement deux vétérinaires australiens : Dr. vét. Ian Billinghurst suivit du Dr. vét. Tom Lonsdale.
Par leur engagement en faveur d'une alimentation naturelle à base de viande crue, l'acronyme B.A.R.F. a pris sa véritable dimension et signifie maintenant de manière unanimement acceptée : Biologically Appropriate Raw Food, mais également Bones And Raw Food. Swanie Simon l'interprète par : Biologisch Artgerechtes Rohes Futter en allemand et en langue espagnole l'acronyme change carrément en ACBA.
En clair, toutes ces différentes interprétations ne signifient rien d'autre que : une alimentation naturelle à base de viande crue respectant le système digestif des canidés et félins qui sont encore des carnivores, tout en imitant, dans la mesure du possible, les meilleures conditions alimentaires offertes, celles de Dame Nature !
L'alimentation industrielle
Très peu de propriétaires de chiens savent ce que les croquettes contiennent réellement de si appétissant et succulent, vantées par une publicité très attractive disposant de budgets astronomiques. Les différentes usines produisant des croquettes et autres aliments pour animaux de compagnie ont comme objectif principal de valoriser, par des profits financiers, les différents déchets de l'ensemble de l'industrie agro-alimentaire humaine.
Dans cette approche de nature purement financière, l'aspect de la santé devient antagoniste et n'a, par conséquent, plus d'intérêt. Elles sont donc une partie intégrante de l'industrie agro-alimentaire tout court. Les ingrédients ne pouvant plus servir à la consommation humaine prennent ainsi le chemin de l'alimentation de nos animaux de compagnie.
Les sources d'approvisionnement sont pour ainsi dire inépuisables et d'autres vont encore être découvertes. Il n'est donc absolument pas étonnant que toutes les grandes marques soient en mains de grandes sociétés multinationales. La partie carnée généralement sous la forme de farine de viandes, dont la provenance est occultée, ainsi que les graisses animales entrant dans la composition des croquettes sont achetées auprès de sociétés d'équarrissages.
Ces sociétés ont comme vocation primaire de valoriser toutes les parties des animaux qui leur sont amenés. Animaux de fermes malades ayant été traités par des médicaments divers dont des antibiotiques, euthanasiés pour des raisons diverses. Par des invendus provenant de différentes grandes surfaces. Pour gagner du temps, certaines sociétés d'équarrissage ne prennent même pas la peine d'enlever les emballages, souvent sous forme de différentes matières plastiques. Dans certains pays, les animaux de compagnie, donc chiens et chats euthanasiés par des vétérinaires, peuvent prendre le chemin de l'équarrissage pour être transformés en farine de viande, os et en graisse animale. Les échanges commerciaux étant libres, les importations en dehors de Union Européenne sont tout à fait possibles. Avec l'élargissement de L'U.E. ces grandes sociétés transnationales ont commencé à ériger de nouvelles facilités de production dans ces nouveaux pays membres dont les contrôles vétérinaires devraient respecter les directives de Bruxelles. (Pologne). Becs, plumes, pattes, excréments des volailles ou sabots, peaux, urines, matières fécales sont des parties intégrantes des farines de viandes permettant aux fabricants d'augmenter artificiellement les indications en protéines qui, sous cette forme azotée, ne sont que difficilement assimilables par nos chiens ou chats.
Dans l'ensemble, la grande partie de la composition des croquettes est formée de céréales et déchets végétaux variés provenant des différentes usines de transformation. Par céréales, il faut comprendre des lots déclassés pour la consommation humaine, soit à cause des mauvais stockages (humidité, moisissures), soit parce qu'ils n'atteignent pas le poids/hl requis, donc des grains trop petits. Les différents déchets végétaux se trouvant très souvent dans différentes marques de croquettes sont par exemple : - La pulpe de betterave qui n'est rien d'autre qu'un résidu très encombrant de l'industrie sucrière, que le chien, qui ne dispose pas d'un rumen comme une vache, est incapable de digérer. -
Les glutens sous différentes formes sont des résidus provenant de minoteries. Ce sont des collants particulièrement indigestes. En 2007 des glutens en provenance de la Chine, dopés à la mélamine permettant de modifier les valeurs des protéines vers le haut, ont provoqué le plus grand scandale de l'histoire touchant l'alimentation industrielle avec des conséquences malheureusement importantes sur la santé des chiens et chats (États-Unis). La consultation de la liste officielle des rappels (FDA) est explicite. - Les farines de soja, obtenues après extraction d'huiles souvent rances comme apport intéressant en protéines. Une grande partie de ces déchets est importée de pays dont les cultures sont en majorité issues de semences génétiquement modifiées (OGM). - La cellulose, un ingrédient d'après les fabricants particulièrement digeste dont la définition d'après le Grand Larousse est : "Désignation courante des pâtes à papiers chimiques, qui sont essentiellement constituées de cellulose ou simplement de sciures, déchets encombrants et inépuisables en provenance de scieries".
Le chien est incapable de digérer la cellulose même celle des parois cellulaires des végétaux, comme par exemple les légumes, donc d'après les fabricants c'est un ingrédient idéal pour un chien. Ces ingrédients passent par le processus de fabrication qui se fait à des températures élevées et sous pression, modifiant ou détruisant les vitamines, enzymes et acides aminés que ces matières premières pouvaient contenir. Certaines substances chimiques dont des anesthésiants sont en mesure de résister à de telles températures et peuvent donc former des résidus entrant dans la formulation des croquettes, ce que confirme ce rapport.
Ces différentes matières premières provenant des différents secteurs de l'industrie agro-alimentaire ont subi des transformations pour lesquelles sont naturellement employées des substances chimiques diverses, connues également par la définition d'agents de production. Les fabricants de croquettes restent silencieux sur les conséquences de possibles réactions entre ces différentes substances ou ne donnent pas d'informations sur les moyens analytiques de contrôle mis en en place pour éviter qu'elles entrent dans la chaine alimentaire des chiens et chats. Les fabricants compensent la perte en vitamines et d'autres éléments par l'ajout d'un prémix contenant des vitamines et minéraux industriels bon marché, dont l'assimilation par nos animaux de compagnies est moins bonne que sous la forme naturelle. La conservation de l'oméga 3 pose un problème technique et certaines croquettes pourraient donc en être simplement dépourvues.
La destruction des enzymes, indispensable pour des carnivores, n'est par contre pas compensée. En d'autres termes, la croquette est une nourriture morte, amorphe et sans vie. En lisant les ingrédients qui doivent obligatoirement figurer sur les sacs d'emballages, le flou est hélas omniprésent et délibérément entretenu. En effet, par une astuce simple et absolument légale, les fabricants mettent en première place, par exemple, farine de volaille donnant l'impression que la composition comporte une part majoritaire carnée. En listant cependant en détail les autres composants céréaliers ou végétaux, ils cachent qu'en réalité la farine de volaille n'est qu'une partie minoritaire souvent aux alentours de 20%. C'est l'ensemble des différents composants qui doivent être pris en compte.
Les graisses animales pour éviter qu'elle ne rancissent ont besoin de stabilisateurs connus sous le nom de conservateurs. L'annotation anodine sur les sacs d'emballages comme « Additifs selon UE » cache généralement le nom de conservateurs comme le B.H.A, (butylhydroxyanisol), le B.H.T. (butylhydroxytoluène) ou l’ethoxyquine. L'emploi de ces substances est soit sévèrement règlementé, ou tout simplement interdit pour la consommation humaine. Elles sont soupçonnées d'avoir des effets cancérigènes, peuvent ralentir la formation des globules blancs, générer des affections rénales et ont un effet néfaste sur le système immunitaire. Normalement, nos chiens, chats et furets ne se rueraient pas sur une telle nourriture sans l'aide de la chimie procurant aux fabricants des substances souvent de synthèse pudiquement déclarées sur les sacs d'emballages comme étant des arômes. Pour piéger ces animaux, les fabricants disposent de tout un arsenal de moyens différents, comportant des arômes, sucres, sels et des exhausteurs de goût.
L'emploi du glutamate monosodique (GMS) dont les divers effets secondaires sont fortement discutés n'est pas à exclure. L'aspect, surtout pour les acheteurs, doit naturellement être également attirant. Le tout aura donc droit à une séance de maquillage par des colorants divers permettant de soigner la présentation. De par un règlement de l'Union Européenne, de telles substances ne doivent pas figurer dans la déclaration figurant sur les sacs d'emballages, et le comble est que ces indications sont même interdites de figurer, mais pourtant les aliments en contiennent. Certains fabricants ont commencé à employer comme conservateur la vitamine E Tocophérol. Cependant, toutes les vitamines ont la fâcheuse tendance de s'oxyder relativement rapidement.
Actuellement aucune vitamine permet d'assurer la conservation au-delà de six mois alors que les sacs d'emballages affichent des dates de péremption pour 12 voir même 18 mois. D'autres fabricants indiquent fièrement que leurs produits sont exempts de conservateurs. Les graisses animales doivent cependant être stabilisées par des conservateurs, autrement elles vont tout simplement devenir rances. Ces déclarations sur les sacs d'emballages permettant de tromper les acheteurs, trouvent leur explication dans une directive d'un règlement de l'UE permettant aux fabricants d'occulter légalement de telles substances pour des composants achetés à des tiers. Les graisses animales provenant généralement des sociétés d'équarrissages qui mettent naturellement un conservateur pour le stockage de leurs productions, les fabricants de croquettes n'ont logiquement plus besoin d'en ajouter.
Avec une telle nourriture, beaucoup de chiens (sur)vivent en apparente bonne santé, mais hélas un grand nombre en nette augmentation accusent le coup par différentes maladies. Les fabricants de croquettes n'ignorent nullement que nos animaux de compagnie sont de plus en plus affectés par des maladies diverses. Ils n'ont pas hésité à réagir dans une logique purement commerciale. Flairant avec raison un marché très prometteur ils ont commencé à mettre sur le marché des croquettes diététiques pour des affections différentes se chiffrant en milliards d'Euros. Quelle ironie. Nos animaux de compagnie ont de plus en plus des affections diverses liées aux croquettes.
Que font les fabricants pour améliorer à long terme l'état général de la santé de nos animaux de compagnie qui est actuellement déplorable ? Ils répondent présent en proposant des croquettes diététiques que les vétérinaires seront heureux de vendre à des prix d'or.
Les chiens comme les chats ou furets sont encore des carnivores
Pour s'en convaincre, des études universitaires ne sont pas indispensables. Pour commencer, il suffit de regarder dans la gueule d'un chien ou la bouche d'un chat et d'un furet. Leur dentition et leur mâchoire sont indiscutablement celles d'un carnivore.
L'ancêtre du chien, le loup, se nourrit certes essentiellement de proies constituées de gros gibiers, mais à défaut, un lièvre fera très bien l'affaire. Viande, peaux, le contenu de l'estomac, les boyaux mais également des baies, fruits, herbes, racines lui donnent l'alimentation équilibrée contenant toutes les vitamines, les minéraux et les fibres dont il a besoin.
Pour les chats ou les furets vivant en liberté se nourrissant essentiellement de petites proies comme les souris, les oiseaux, les petits reptiles, ils trouvent les différents éléments nutritifs en mangeant également la viande, la peau, les petits os et à la différence cependant du loup, mangent également l'estomac avec son contenu.
Leurs systèmes digestifs sont ceux de carnivores.
Ils disposent de sucs gastriques acides, donc relativement agressifs leur permettant de digérer une nourriture carnée souvent avec des os et la peau des différentes proies qu'ils pourraient trouver vivant en liberté. Ce suc contient 10 fois plus d'acides citriques que celui de l'homme par exemple. Durant la phase de digestion, le pH d'un chien en bonne santé descend en dessous de 1. Le pH est un chiffre basé sur des tables logarithmiques et ceux ayant l'expérience de son usage pourront aisément comprendre l'énorme différence qu'il y a entre le pH du canidé et celui de l'homme, par exemple, ce dernier se situant autour de 2-3 pendant la digestion. Le point neutre est 7.
La production de sucs gastriques d'un chien « est déclenchée » en présence de viande, ou d'un aliment le faisant saliver d'envie. Sans doute également pour des croquettes insipides. L'estomac des carnivores est généralement grand et leur intestin relativement court. Pour un chien, la longueur est d'à peu près 3-5 mètres tandis celui d'un ruminant, comme la vache, est d'environ 12-15 m où la digestion d'une nourriture essentiellement végétale peut prendre 60 heures. À moins de réinventer le chien, le chat ou le furet, ces spécimens font bel et bien partie des carnivores. Une nourriture composée essentiellement de céréales ou d'autres végétaux ne correspond pas à ces animaux.
État actuel ces dernières années, le nombre de propriétaires de chiens, éleveurs ou vétérinaires prenant conscience de l'aspect nutritionnel de leurs animaux est en constante progression, ce qui est réjouissant. Après cette prise de conscience, la nette majorité d'entre eux s'est tournée vers une alimentation naturelle à base de viande crue B.A.R.F. Ils ont pu constater des changements parfois spectaculaires. Leurs chiens sont plus éveillés et souvent moins nerveux, plus de mauvaises odeurs, les gaz intempestifs pour ainsi dire inexistants, des dents d'une blancheur éclatante et pas de tartre, un poil souvent magnifiquement brillant, les chiots grandissent « plus lentement » leur permettant de former correctement leurs ossatures ainsi que les ligaments et la musculature. Des éleveurs de chiens de grande taille ont pu constater une amélioration de la longévité. Les crottes, quelle aubaine, nettement plus petites, plus compactes et surtout moins nauséabondes.
En somme, une petite contribution pour notre environnement. Comment faire ? Il n'y a absolument rien de compliqué. De la viande, des os charnus, des abats, un peu de légumes, un peu d'huile et éventuellement un mélange herbes et d'algues et vous êtes déjà dans la bonne voie. L'ajout de légumes, voire le mélange herbes/algues, compense l'absence de vitamines et autres éléments nutritifs que les canidés, félins ou furets vivant en liberté trouvent en se nourrissant de proies. Il n'y a que très peu de personnes qui ont accès à de telles proies ou pour des raisons financières ne peuvent se permettre de nourrir leurs animaux de compagnie de telle manière.
Leur alimentation est 100 % naturelle et de qualité à base de viande crue appelé BARF.
Nos rations journalières sont composées de viande de canard, d'os charnus moitié cuisses de poulet et cous de poulet ou dinde, d'abats moitié gésiers de poulet et foies de dinde et de sprats ainsi que de légumes, un mixte de carottes courgettes et pommes.
Le BARF c'est quoi ?
L'alimentation naturelle à base de viande crue pour chiens, BARF.
La qualité de l'alimentation est un des facteurs les plus importants garantissant la bonne santé de nos chiens, en leur permettant de disposer d'un système immunitaire intact.
Avec l'apparition, dans les années 60 de différents aliments industriels, dont les croquettes, la majorité des propriétaires de chiens et d'éleveurs ont remis leur responsabilité alimentaire dans les mains des différents fabricants en se fiant aux différents slogans publicitaires vantant la grande qualité des ingrédients qu'elles contiennent. Il est naturellement très pratique d'ouvrir simplement un sac de croquettes, d'en mettre une certaine quantité dans la gamelle sans devoir se préoccuper outre mesure de la composition de la nourriture.
Les différents vétérinaires conseils au service des différentes marques en prennent soin. Puis, pour beaucoup, la vie professionnelle ne laisse que peu de temps pour s'occuper personnellement de la préparation de la nourriture de leur chien pourtant adoré, et pensent qu'une telle préparation est fastidieuse et requiert un degré universitaire pour composer ses rations journalières.
Beaucoup de propriétaires de chiens sont naturellement au courant que, de nos jours, différents aliments destinés à la consommation humaine peuvent contenir des substances diverses, souvent de synthèse comme des agents de conservation, arômes, ou colorants. Par contre, la composition des ingrédients et les différentes substances contenues dans les croquettes sont souvent ignorées.
Elles contiennent essentiellement des céréales, leurs dérivés et différents déchets végétaux produits par l'industrie agro-alimentaire. La consommation d'une telle alimentation, basée essentiellement sur des céréales et des végétaux, a une répercussion sur l'état général de la santé de la population canine et féline. Maladies cancérigènes, allergies diverses, problèmes de digestion (pancréatites), affections rénales (insuffisances rénales), hépatites, diminution de fertilité et problèmes de croissance sont en nette progression et remplissent les salles d'attente des vétérinaires et des cliniques pour animaux de compagnie.
Il faut 10.000 ans pour que l'organisme du chien puisse s'adapter à un changement alimentaire radical. L'apparition des croquettes qui a pris son véritable essor dans les années 60 est due à James Spratt, qui a d'abord commencé à fabriquer des biscuits pour chiens en Angleterre en 1860, puis par la suite, vers 1890 en s'établissant dans l'Ohio (États-Unis).
L'âge d'or des croquettes n'a cependant véritablement commencé qu'à partir de la fin de la deuxième guerre mondiale pour le plus grand malheur de nos chiens et chats. De nos jours, de plus en plus de propriétaires de chiens, éleveurs et vétérinaires, sont d'avis que la détérioration généralisée de la condition de santé de nos chiens et chats est étroitement liée à l'alimentation industrielle, soit sous forme humide, soit sous forme de croquettes.
Partant de ce constat il n'est pas étonnant qu'un mouvement vers une solution alternative prenne forme sous l'acronyme BARF.
Historique
Beaucoup de personnes se posent avec raison la question "Mais que signifie l'acronyme B.A.R.F.?" qui ne trouve que difficilement une explication rationnelle dans les différentes langues latines. Au début, cet acronyme était lié à des interprétations différentes, dont celle de l'Américaine Debbie Tripp qui fut la première personne à employer BARF, mot qui signifiait à cette époque Born Again Raw Feeders ou également Bones And Raw Foods. Mais les deux personnes qui ont véritablement donné la forme définitive de l'interprétation de cet acronyme sont incontestablement deux vétérinaires australiens : Dr. vét. Ian Billinghurst suivit du Dr. vét. Tom Lonsdale.
Par leur engagement en faveur d'une alimentation naturelle à base de viande crue, l'acronyme B.A.R.F. a pris sa véritable dimension et signifie maintenant de manière unanimement acceptée : Biologically Appropriate Raw Food, mais également Bones And Raw Food. Swanie Simon l'interprète par : Biologisch Artgerechtes Rohes Futter en allemand et en langue espagnole l'acronyme change carrément en ACBA.
En clair, toutes ces différentes interprétations ne signifient rien d'autre que : une alimentation naturelle à base de viande crue respectant le système digestif des canidés et félins qui sont encore des carnivores, tout en imitant, dans la mesure du possible, les meilleures conditions alimentaires offertes, celles de Dame Nature !
L'alimentation industrielle
Très peu de propriétaires de chiens savent ce que les croquettes contiennent réellement de si appétissant et succulent, vantées par une publicité très attractive disposant de budgets astronomiques. Les différentes usines produisant des croquettes et autres aliments pour animaux de compagnie ont comme objectif principal de valoriser, par des profits financiers, les différents déchets de l'ensemble de l'industrie agro-alimentaire humaine.
Dans cette approche de nature purement financière, l'aspect de la santé devient antagoniste et n'a, par conséquent, plus d'intérêt. Elles sont donc une partie intégrante de l'industrie agro-alimentaire tout court. Les ingrédients ne pouvant plus servir à la consommation humaine prennent ainsi le chemin de l'alimentation de nos animaux de compagnie.
Les sources d'approvisionnement sont pour ainsi dire inépuisables et d'autres vont encore être découvertes. Il n'est donc absolument pas étonnant que toutes les grandes marques soient en mains de grandes sociétés multinationales. La partie carnée généralement sous la forme de farine de viandes, dont la provenance est occultée, ainsi que les graisses animales entrant dans la composition des croquettes sont achetées auprès de sociétés d'équarrissages.
Ces sociétés ont comme vocation primaire de valoriser toutes les parties des animaux qui leur sont amenés. Animaux de fermes malades ayant été traités par des médicaments divers dont des antibiotiques, euthanasiés pour des raisons diverses. Par des invendus provenant de différentes grandes surfaces. Pour gagner du temps, certaines sociétés d'équarrissage ne prennent même pas la peine d'enlever les emballages, souvent sous forme de différentes matières plastiques. Dans certains pays, les animaux de compagnie, donc chiens et chats euthanasiés par des vétérinaires, peuvent prendre le chemin de l'équarrissage pour être transformés en farine de viande, os et en graisse animale. Les échanges commerciaux étant libres, les importations en dehors de Union Européenne sont tout à fait possibles. Avec l'élargissement de L'U.E. ces grandes sociétés transnationales ont commencé à ériger de nouvelles facilités de production dans ces nouveaux pays membres dont les contrôles vétérinaires devraient respecter les directives de Bruxelles. (Pologne). Becs, plumes, pattes, excréments des volailles ou sabots, peaux, urines, matières fécales sont des parties intégrantes des farines de viandes permettant aux fabricants d'augmenter artificiellement les indications en protéines qui, sous cette forme azotée, ne sont que difficilement assimilables par nos chiens ou chats.
Dans l'ensemble, la grande partie de la composition des croquettes est formée de céréales et déchets végétaux variés provenant des différentes usines de transformation. Par céréales, il faut comprendre des lots déclassés pour la consommation humaine, soit à cause des mauvais stockages (humidité, moisissures), soit parce qu'ils n'atteignent pas le poids/hl requis, donc des grains trop petits. Les différents déchets végétaux se trouvant très souvent dans différentes marques de croquettes sont par exemple : - La pulpe de betterave qui n'est rien d'autre qu'un résidu très encombrant de l'industrie sucrière, que le chien, qui ne dispose pas d'un rumen comme une vache, est incapable de digérer. -
Les glutens sous différentes formes sont des résidus provenant de minoteries. Ce sont des collants particulièrement indigestes. En 2007 des glutens en provenance de la Chine, dopés à la mélamine permettant de modifier les valeurs des protéines vers le haut, ont provoqué le plus grand scandale de l'histoire touchant l'alimentation industrielle avec des conséquences malheureusement importantes sur la santé des chiens et chats (États-Unis). La consultation de la liste officielle des rappels (FDA) est explicite. - Les farines de soja, obtenues après extraction d'huiles souvent rances comme apport intéressant en protéines. Une grande partie de ces déchets est importée de pays dont les cultures sont en majorité issues de semences génétiquement modifiées (OGM). - La cellulose, un ingrédient d'après les fabricants particulièrement digeste dont la définition d'après le Grand Larousse est : "Désignation courante des pâtes à papiers chimiques, qui sont essentiellement constituées de cellulose ou simplement de sciures, déchets encombrants et inépuisables en provenance de scieries".
Le chien est incapable de digérer la cellulose même celle des parois cellulaires des végétaux, comme par exemple les légumes, donc d'après les fabricants c'est un ingrédient idéal pour un chien. Ces ingrédients passent par le processus de fabrication qui se fait à des températures élevées et sous pression, modifiant ou détruisant les vitamines, enzymes et acides aminés que ces matières premières pouvaient contenir. Certaines substances chimiques dont des anesthésiants sont en mesure de résister à de telles températures et peuvent donc former des résidus entrant dans la formulation des croquettes, ce que confirme ce rapport.
Ces différentes matières premières provenant des différents secteurs de l'industrie agro-alimentaire ont subi des transformations pour lesquelles sont naturellement employées des substances chimiques diverses, connues également par la définition d'agents de production. Les fabricants de croquettes restent silencieux sur les conséquences de possibles réactions entre ces différentes substances ou ne donnent pas d'informations sur les moyens analytiques de contrôle mis en en place pour éviter qu'elles entrent dans la chaine alimentaire des chiens et chats. Les fabricants compensent la perte en vitamines et d'autres éléments par l'ajout d'un prémix contenant des vitamines et minéraux industriels bon marché, dont l'assimilation par nos animaux de compagnies est moins bonne que sous la forme naturelle. La conservation de l'oméga 3 pose un problème technique et certaines croquettes pourraient donc en être simplement dépourvues.
La destruction des enzymes, indispensable pour des carnivores, n'est par contre pas compensée. En d'autres termes, la croquette est une nourriture morte, amorphe et sans vie. En lisant les ingrédients qui doivent obligatoirement figurer sur les sacs d'emballages, le flou est hélas omniprésent et délibérément entretenu. En effet, par une astuce simple et absolument légale, les fabricants mettent en première place, par exemple, farine de volaille donnant l'impression que la composition comporte une part majoritaire carnée. En listant cependant en détail les autres composants céréaliers ou végétaux, ils cachent qu'en réalité la farine de volaille n'est qu'une partie minoritaire souvent aux alentours de 20%. C'est l'ensemble des différents composants qui doivent être pris en compte.
Les graisses animales pour éviter qu'elle ne rancissent ont besoin de stabilisateurs connus sous le nom de conservateurs. L'annotation anodine sur les sacs d'emballages comme « Additifs selon UE » cache généralement le nom de conservateurs comme le B.H.A, (butylhydroxyanisol), le B.H.T. (butylhydroxytoluène) ou l’ethoxyquine. L'emploi de ces substances est soit sévèrement règlementé, ou tout simplement interdit pour la consommation humaine. Elles sont soupçonnées d'avoir des effets cancérigènes, peuvent ralentir la formation des globules blancs, générer des affections rénales et ont un effet néfaste sur le système immunitaire. Normalement, nos chiens, chats et furets ne se rueraient pas sur une telle nourriture sans l'aide de la chimie procurant aux fabricants des substances souvent de synthèse pudiquement déclarées sur les sacs d'emballages comme étant des arômes. Pour piéger ces animaux, les fabricants disposent de tout un arsenal de moyens différents, comportant des arômes, sucres, sels et des exhausteurs de goût.
L'emploi du glutamate monosodique (GMS) dont les divers effets secondaires sont fortement discutés n'est pas à exclure. L'aspect, surtout pour les acheteurs, doit naturellement être également attirant. Le tout aura donc droit à une séance de maquillage par des colorants divers permettant de soigner la présentation. De par un règlement de l'Union Européenne, de telles substances ne doivent pas figurer dans la déclaration figurant sur les sacs d'emballages, et le comble est que ces indications sont même interdites de figurer, mais pourtant les aliments en contiennent. Certains fabricants ont commencé à employer comme conservateur la vitamine E Tocophérol. Cependant, toutes les vitamines ont la fâcheuse tendance de s'oxyder relativement rapidement.
Actuellement aucune vitamine permet d'assurer la conservation au-delà de six mois alors que les sacs d'emballages affichent des dates de péremption pour 12 voir même 18 mois. D'autres fabricants indiquent fièrement que leurs produits sont exempts de conservateurs. Les graisses animales doivent cependant être stabilisées par des conservateurs, autrement elles vont tout simplement devenir rances. Ces déclarations sur les sacs d'emballages permettant de tromper les acheteurs, trouvent leur explication dans une directive d'un règlement de l'UE permettant aux fabricants d'occulter légalement de telles substances pour des composants achetés à des tiers. Les graisses animales provenant généralement des sociétés d'équarrissages qui mettent naturellement un conservateur pour le stockage de leurs productions, les fabricants de croquettes n'ont logiquement plus besoin d'en ajouter.
Avec une telle nourriture, beaucoup de chiens (sur)vivent en apparente bonne santé, mais hélas un grand nombre en nette augmentation accusent le coup par différentes maladies. Les fabricants de croquettes n'ignorent nullement que nos animaux de compagnie sont de plus en plus affectés par des maladies diverses. Ils n'ont pas hésité à réagir dans une logique purement commerciale. Flairant avec raison un marché très prometteur ils ont commencé à mettre sur le marché des croquettes diététiques pour des affections différentes se chiffrant en milliards d'Euros. Quelle ironie. Nos animaux de compagnie ont de plus en plus des affections diverses liées aux croquettes.
Que font les fabricants pour améliorer à long terme l'état général de la santé de nos animaux de compagnie qui est actuellement déplorable ? Ils répondent présent en proposant des croquettes diététiques que les vétérinaires seront heureux de vendre à des prix d'or.
Les chiens comme les chats ou furets sont encore des carnivores
Pour s'en convaincre, des études universitaires ne sont pas indispensables. Pour commencer, il suffit de regarder dans la gueule d'un chien ou la bouche d'un chat et d'un furet. Leur dentition et leur mâchoire sont indiscutablement celles d'un carnivore.
L'ancêtre du chien, le loup, se nourrit certes essentiellement de proies constituées de gros gibiers, mais à défaut, un lièvre fera très bien l'affaire. Viande, peaux, le contenu de l'estomac, les boyaux mais également des baies, fruits, herbes, racines lui donnent l'alimentation équilibrée contenant toutes les vitamines, les minéraux et les fibres dont il a besoin.
Pour les chats ou les furets vivant en liberté se nourrissant essentiellement de petites proies comme les souris, les oiseaux, les petits reptiles, ils trouvent les différents éléments nutritifs en mangeant également la viande, la peau, les petits os et à la différence cependant du loup, mangent également l'estomac avec son contenu.
Leurs systèmes digestifs sont ceux de carnivores.
Ils disposent de sucs gastriques acides, donc relativement agressifs leur permettant de digérer une nourriture carnée souvent avec des os et la peau des différentes proies qu'ils pourraient trouver vivant en liberté. Ce suc contient 10 fois plus d'acides citriques que celui de l'homme par exemple. Durant la phase de digestion, le pH d'un chien en bonne santé descend en dessous de 1. Le pH est un chiffre basé sur des tables logarithmiques et ceux ayant l'expérience de son usage pourront aisément comprendre l'énorme différence qu'il y a entre le pH du canidé et celui de l'homme, par exemple, ce dernier se situant autour de 2-3 pendant la digestion. Le point neutre est 7.
La production de sucs gastriques d'un chien « est déclenchée » en présence de viande, ou d'un aliment le faisant saliver d'envie. Sans doute également pour des croquettes insipides. L'estomac des carnivores est généralement grand et leur intestin relativement court. Pour un chien, la longueur est d'à peu près 3-5 mètres tandis celui d'un ruminant, comme la vache, est d'environ 12-15 m où la digestion d'une nourriture essentiellement végétale peut prendre 60 heures. À moins de réinventer le chien, le chat ou le furet, ces spécimens font bel et bien partie des carnivores. Une nourriture composée essentiellement de céréales ou d'autres végétaux ne correspond pas à ces animaux.
État actuel ces dernières années, le nombre de propriétaires de chiens, éleveurs ou vétérinaires prenant conscience de l'aspect nutritionnel de leurs animaux est en constante progression, ce qui est réjouissant. Après cette prise de conscience, la nette majorité d'entre eux s'est tournée vers une alimentation naturelle à base de viande crue B.A.R.F. Ils ont pu constater des changements parfois spectaculaires. Leurs chiens sont plus éveillés et souvent moins nerveux, plus de mauvaises odeurs, les gaz intempestifs pour ainsi dire inexistants, des dents d'une blancheur éclatante et pas de tartre, un poil souvent magnifiquement brillant, les chiots grandissent « plus lentement » leur permettant de former correctement leurs ossatures ainsi que les ligaments et la musculature. Des éleveurs de chiens de grande taille ont pu constater une amélioration de la longévité. Les crottes, quelle aubaine, nettement plus petites, plus compactes et surtout moins nauséabondes.
En somme, une petite contribution pour notre environnement. Comment faire ? Il n'y a absolument rien de compliqué. De la viande, des os charnus, des abats, un peu de légumes, un peu d'huile et éventuellement un mélange herbes et d'algues et vous êtes déjà dans la bonne voie. L'ajout de légumes, voire le mélange herbes/algues, compense l'absence de vitamines et autres éléments nutritifs que les canidés, félins ou furets vivant en liberté trouvent en se nourrissant de proies. Il n'y a que très peu de personnes qui ont accès à de telles proies ou pour des raisons financières ne peuvent se permettre de nourrir leurs animaux de compagnie de telle manière.
Les avantages du BARF :
- Meilleure qualité de vie et longévité : Le BARF est un mode d’alimentation qualitatif : un régime BARF bien dosé, avec de la viande de qualité, est un mode d’alimentation extrêmement digeste, avec un apport excellent en protéine pour chiens.
- Des selles moins volumineuses : réduites et moins odorantes.
- Une meilleure santé buccale : le régime BARF, composé de viande crue et d’os, demande à l’animal de mastiquer et de ronger les os. Cela leur permet d’avoir de belles dents en pleine santé, de diminuer le tartre, et d’avoir une haleine moins forte. Une très grande différence avec les croquettes, où la plupart de nos chiens avalent tout rond sans prendre la peine de mâcher !
- Plaisir du chien à manger : Le BARF est une nourriture extrêmement appétente pour l’animal ! En effet, ils sont dès leur plus jeune âge, attiré par de… la viande ! Vous avez un chien qui a tendance à « bouder » sa gamelle de croquettes ? Avec le régime BARF vous n’aurez plus ce genre de problème.
- Un poil : doux et brillant
- Une belle musculature : une alimentation riche en protéine est un bon moyen pour développer les muscles de votre chien.
- Un régime qui s’adapte à tous les âges : l’alimentation BARF convient à tous les âges et à tous niveaux d’activité de votre chien (hormis cas exceptionnel).
Les inconvénients du BARF :
- Le stockage de la viande : Afin de baisser le coût du régime BARF, généralement, les « BARFEURS » achètent la viande en très grande quantité. Cela vous oblige à avoir un espace de stockage important, d’autant plus, si vous êtes propriétaire d’un chien de grande taille. Pour cela il vous faudra surement investir dans un nouveau congélateur.
- Risque sanitaire important : L’absence de cuisson de la viande a forcément des inconvénients. En effet les bactéries potentiellement pathogènes ou autres parasites ne sont pas détruits par l’étape de cuisson. Il y a ainsi des risques de parasitoses ou d’intoxications alimentaire. C’est pourquoi vous devez être intransigeant sur l’hygiène lors de la préparation des portions.
- Le temps : Le régime barf va forcément vous prendre plus de temps, que le simple fait de verser des croquettes dans une gamelle. Avec le BARF il est nécessaire de préparer le repas de son chien. En effet, il faut prendre le temps de broyer les légumes, de les cuire si besoin, de peser les portions… Tout cela demande une organisation avec un certain temps de préparation.
- Le faire garder : un chien nourri au barf est plus compliqué à faire garder qu’un chien nourri à l’alimentation industrielle. Est-ce que le dog-sitter de votre chien est prêt à faire les préparations ? à stocker correctement les ingrédients ? à respecter les règles d’hygiène ? Rien d’insurmontable, mais cela demande à votre dog-sitter d’être au point sur le sujet !
- Le prix : L’alimentation BARF est censée être plus chère que l’alimentation industrielle. En effet la viande reste un ingrédient très cher. (cependant à comparer avec des croquettes de bonne qualité, ce n’est pas forcément plus cher)